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L’INBi se bat contre la désinformation : clarifications sur les fake news entourant Bitcoin et les cryptomonnaies

/Leo Francois

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L’Institut National de Bitcoin, plus connu sous l’acronyme INBi, est devenu un acteur incontournable dans la lutte contre la désinformation entourant Bitcoin et les cryptomonnaies. Face aux nombreux clichés et mensonges qui circulent, notamment concernant leur utilisation dans des activités criminelles, l’INBi s’efforce de rétablir la vérité. Au cœur de cette bataille, le récent traitement médiatique injuste subi par le Bitcoin lors d’une émission diffusée sur France Culture a suscité une vive réaction de la part de cette association.

La diffusion de fausses idées sur Bitcoin

Dans le contexte actuel où de nombreuses accusations fusent à l’encontre des cryptomonnaies, l’INBi dénonce des affirmations sans fondement qui ternissent la réputation de Bitcoin. En effet, lors de l’émission « Cryptomonnaies : révolution et manipulations », animée par Christine Ockrent, le Bitcoin a été accusé de faciliter le blanchiment d’argent et d’être utilisé par des régimes hostiles. Des déclarations qui paraissent infondées, notamment quand on considère que l’utilisation des cryptomonnaies dans des activités illicites ne représenterait que 0,14% de l’ensemble des transactions.

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Les vraies statistiques sur l’utilisation des cryptos

Des experts comme François Volpoet, représentant de Chainalysis, ont contredit ces allégations en fournissant des données chiffrées. Quand on analyse l’utilité des monnaies fiduciaires telles que le dollar ou l’euro, on constate que 3% du PIB mondial est attribué à des activités criminelles. L’INBi rappelle que les 40 milliards de dollars liés aux activités illicites en cryptomonnaies sont certes préoccupants, mais comparativement dérisoires, lorsque l’on les met en rapport avec les 2 129 milliards de dollars générés par des activités criminelles via les monnaies étatiques.

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L’INBi soulève des problèmes de traitement médiatique

En plus de dénoncer le manque de nuance dans le débat public, l’INBi s’interroge sur la manière dont les médias abordent la question des cryptomonnaies. À de nombreuses reprises, il est constatable qu’aucune distinction n’est faite entre Bitcoin et d’autres actifs numériques, dont la valeur et la solidité peuvent être discutables. Cette amalgamation contribue à la propagation de stéréotypes nuisibles, particulièrement auprès des personnes peu informées sur le sujet.

Les actions de l’INBi

Pour lutter contre ce traitement médiatique biaisé, l’INBi a décidé de saisir l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique (Arcom) afin de réclamer des comptes et de dénoncer cette désinformation. Ce recours souligne la volonté de l’association de défendre non seulement Bitcoin, mais aussi l’ensemble des initiatives basées sur la blockchain. L’INBi souhaite également convaincre les décideurs politiques des avantages indéniables que Bitcoin peut apporter à l’économie.

La nécessité d’un journalisme responsable

L’indifférence à l’égard des données précises et des témoignages contraires est particulièrement inquiétante. L’INBi s’inquiète de la négligence dont font preuve certains journalistes, qui, malgré la présence d’experts et de données contradictoires, persistent dans leurs affirmations. Une telle attitude nuit non seulement à la crédibilité des médias, mais elle a également des répercussions sur la perception du public envers les cryptomonnaies.

Le chemin à parcourir

Malgré la montée en puissance d’associations comme l’INBi et une adoption croissante des cryptomonnaies, une armée de détracteurs, souvent mal informés ou de mauvaise foi, continue de contrecarrer leur avancée. La bataille contre la désinformation va nécessite collaboration, notamment à travers une sensibilisation accrue. Ceci devient d’autant plus crucial dans un paysage où l’intelligence artificielle et les fausses informations prolifèrent.

L’INBi se positionne non seulement comme un défenseur de Bitcoin, mais également comme un agent de changement en termes de communication. En interviennent auprès des médias et en fournissant des analyses précises, l’organisation tente d’assainir le débat public sur les cryptomonnaies. Le chemin est encore long, mais l’engagement manifeste de l’INBi est sans conteste un premier pas dans la bonne direction.

L’INBi et la lutte contre la désinformation

L’Institut National de Bitcoin (INBi) s’engage activement contre la d désinformation qui entoure le Bitcoin et les cryptomonnaies. Dans un contexte où de nombreuses fake news circulent, l’INBi travaille à rétablir la vérité et à défendre la réputation de ces actifs numériques. Ce combat est essentiel pour assurer une compréhension juste et éclairée du secteur.

Clarification des accusations infondées

Il est impératif que les acteurs du secteur aient les moyens de défendre Bitcoin contre les accusations infondées, notamment en ce qui concerne son utilisation dans des activités illégales. L’INBi prend position pour démontrer que ces affirmations reposent souvent sur des préjugés et non sur des données tangibles.

Pérenniser une information objective

La création de plateformes de dialogue et d’échanges d’informations objectives permettra de contrer les allégations mensongères. Il est crucial que les acteurs du secteur unissent leurs voix pour mettre en lumière les vérités sur le Bitcoin et contrer la haine anti-crypto alimentée par la désinformation.

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